Allo!
Eh oui, je déménage... encore! Cette fois-ci, je me fais plaisir en posant la première pierre d'un projet encore en ébullition!
http://unerondeamontreal.blogspot.com/
C'est, bien entendu, à suivre!
Venez m'y rejoindre en grand nombre!
Votre extra-terrestre,
M. -xxx-
14 février 2011
25 janvier 2011
8 janvier 2011
Une phrase magnifique gorgée de sens...
J'ai trouvé cette belle expression sur le blogue de la Silencieuse (très bon blogue en passant) :
"Bien étudier sa prison, c'est se donner une chance de pouvoir un jour s'en échapper..."
C'est exactement ce que je fais en ce moment et j'ai bon espoir d'y arriver... À méditer!
Merci à toi la Silencieuse pour cette belle réflexion nécessaire!
M. -xxx-
"Bien étudier sa prison, c'est se donner une chance de pouvoir un jour s'en échapper..."
C'est exactement ce que je fais en ce moment et j'ai bon espoir d'y arriver... À méditer!
Merci à toi la Silencieuse pour cette belle réflexion nécessaire!
M. -xxx-
5 janvier 2011
Au propre et au figuré
Allo.
Je lis les autres blogues et je me rends compte que la souffrance, ça prend beaucoup de place. Tout le monde (ou presque) semble souffrir, avoir mal à l'âme... Faut dire que c'est inspirant, la souffrance. Ça peut prendre beaucoup de place sur une feuille, un écran. Dans une tête aussi.
J'essaie de ne pas me plaindre dans la vie de tous les jours. J'essaie. Les rares fois où je le fais, eh bien, ce sont toujours les mêmes personnes qui semblent être pognées pour m'écouter... Donc, j'imagine que pour elles, et c'est tout à fait logique quand on y pense, je suis juste une maudite chialeuse. Vous devez avoir des faces à confidences/confessions, j'sais pas trop... Des fois, je ne comprends pas vraiment pourquoi, ça sort en présence d'autres personnes. En plus, une fois sur 3 (approximativement), ces personnes ont un malheur pour gros que le mien. Comme si elles devaient le défendre à tout prix. C'est assez fascinant je dois dire (comme lui, genre --> http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/01/05/009-tunisie-bouazizi-funerailles.shtml)...
Plus souvent qu'autrement, je décide de tout simplement me fermer la gueule. Parce que ça ne donne rien et parce que la plupart des gens, après tout, n'en ont rien à balancer de mes histoires. En fait, c'est plutôt qu'ils ne peuvent rien y changer. Alors, je me tais. Et je m'isole.
Samedi dernier, lors de la soirée du jour de l'An, quelqu'un que je ne vois qu'une fois par année m'a crié en pleine tête que j'étais trop émotive et "auto-plaignarde". Cette personne m'a aussi crié de me fermer la gueule, et ce, même si je ne parlais pas à ce moment-là. Et quand je dis crier, c'est crier. Weird moment... Bon, je sais que cette personne a beaucoup de bibittes à soigner. Le plus triste, c'est de constater que cette personne a presque 50 ans. Un demi-siècle et plein de bobos pas guéris. J'espère être guérie avant ça moi. Du coup, même en sachant tout ça, je ne peux pas arrêter d'y penser... Ces mots reviennent me hanter la nuit, le jour, partout. Je sais que je suis lourde (au propre et au figuré) et que mon pessimisme et mon cynisme finissent par écoeurer à la longue, mais bon... Ça commence une année bizarre je trouve.
J'aimerais que 2011 soit une année différente et surtout plus légère (encore une fois, au propre et au figuré). J'aimerais que le nuage noir que je m'impose (ou non) décâlice. J'aimerais être capable de m'exprimer de façon constructive et de mieux gérer mes maudites émotions. J'aimerais être capable d'avancer sans constamment me faire mal où me fouler (propre/figuré) quelque chose. Parce qu'une âme, c'est comme une cheville, ça se foule aussi...
Je vais aller méditer là-dessus...
M. -xxx-
Je lis les autres blogues et je me rends compte que la souffrance, ça prend beaucoup de place. Tout le monde (ou presque) semble souffrir, avoir mal à l'âme... Faut dire que c'est inspirant, la souffrance. Ça peut prendre beaucoup de place sur une feuille, un écran. Dans une tête aussi.
J'essaie de ne pas me plaindre dans la vie de tous les jours. J'essaie. Les rares fois où je le fais, eh bien, ce sont toujours les mêmes personnes qui semblent être pognées pour m'écouter... Donc, j'imagine que pour elles, et c'est tout à fait logique quand on y pense, je suis juste une maudite chialeuse. Vous devez avoir des faces à confidences/confessions, j'sais pas trop... Des fois, je ne comprends pas vraiment pourquoi, ça sort en présence d'autres personnes. En plus, une fois sur 3 (approximativement), ces personnes ont un malheur pour gros que le mien. Comme si elles devaient le défendre à tout prix. C'est assez fascinant je dois dire (comme lui, genre --> http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/01/05/009-tunisie-bouazizi-funerailles.shtml)...
Plus souvent qu'autrement, je décide de tout simplement me fermer la gueule. Parce que ça ne donne rien et parce que la plupart des gens, après tout, n'en ont rien à balancer de mes histoires. En fait, c'est plutôt qu'ils ne peuvent rien y changer. Alors, je me tais. Et je m'isole.
Samedi dernier, lors de la soirée du jour de l'An, quelqu'un que je ne vois qu'une fois par année m'a crié en pleine tête que j'étais trop émotive et "auto-plaignarde". Cette personne m'a aussi crié de me fermer la gueule, et ce, même si je ne parlais pas à ce moment-là. Et quand je dis crier, c'est crier. Weird moment... Bon, je sais que cette personne a beaucoup de bibittes à soigner. Le plus triste, c'est de constater que cette personne a presque 50 ans. Un demi-siècle et plein de bobos pas guéris. J'espère être guérie avant ça moi. Du coup, même en sachant tout ça, je ne peux pas arrêter d'y penser... Ces mots reviennent me hanter la nuit, le jour, partout. Je sais que je suis lourde (au propre et au figuré) et que mon pessimisme et mon cynisme finissent par écoeurer à la longue, mais bon... Ça commence une année bizarre je trouve.
J'aimerais que 2011 soit une année différente et surtout plus légère (encore une fois, au propre et au figuré). J'aimerais que le nuage noir que je m'impose (ou non) décâlice. J'aimerais être capable de m'exprimer de façon constructive et de mieux gérer mes maudites émotions. J'aimerais être capable d'avancer sans constamment me faire mal où me fouler (propre/figuré) quelque chose. Parce qu'une âme, c'est comme une cheville, ça se foule aussi...
Je vais aller méditer là-dessus...
M. -xxx-
2 janvier 2011
2011
Un petit mot comme ça en passant pour vous souhaiter de passer une belle et bonne année 2011.
Que cette année soit pour vous santé, paix et amour.
Je vous souhaite d'être heureux et heureuses.
Bonnes réalisations et bons accomplissements! Tenez-moi au courant!
Voilà.
Bisous,
M. -xxx-
Que cette année soit pour vous santé, paix et amour.
Je vous souhaite d'être heureux et heureuses.
Bonnes réalisations et bons accomplissements! Tenez-moi au courant!
Voilà.
Bisous,
M. -xxx-
28 décembre 2010
L'écrire pour ne pas en mourir...
Bonjour.
Ouais, ça fait un bail. Je dois avouer que je me suis littéralement botté les fesses pour revenir écrire ici. Parce que j'en ai besoin et parce que je néglige souvent de faire ou de concrétiser les choses dont j'ai besoin...
Aussi parce que c'est une nouvelle année qui commence et que je suis prête à tout pour que celle-ci ne ressemble pas à la dernière. Oh que non!
Pour aujourd'hui, ce sera ça. Faut quand même pas ambitionner! Mais je reviendrai. Pour vrai, cette fois-ci. Bientôt. Promis!
Faut juste vraiment que tout ça sorte! Comme c'est là, tout ce que je n'écris pas ou plus me coule dans les veines comme du poison...
Au plaisir de vous retrouver ici, avec moi!
Votre rescapée,
M. -xxx-
Ouais, ça fait un bail. Je dois avouer que je me suis littéralement botté les fesses pour revenir écrire ici. Parce que j'en ai besoin et parce que je néglige souvent de faire ou de concrétiser les choses dont j'ai besoin...
Aussi parce que c'est une nouvelle année qui commence et que je suis prête à tout pour que celle-ci ne ressemble pas à la dernière. Oh que non!
Pour aujourd'hui, ce sera ça. Faut quand même pas ambitionner! Mais je reviendrai. Pour vrai, cette fois-ci. Bientôt. Promis!
Faut juste vraiment que tout ça sorte! Comme c'est là, tout ce que je n'écris pas ou plus me coule dans les veines comme du poison...
Au plaisir de vous retrouver ici, avec moi!
Votre rescapée,
M. -xxx-
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